Le plus grand échec est de ne pas avoir le courage d'oser.
J'ose défier le pouvoir du marché, j'ose affronter les banquiers de mon pays, de la City et d'outre-Atlantique, j'ose me présenter devant mes compatriotes pour leur dire qu'un autre avenir est possible que celui si violent, injuste et absurde que nous offre cette civilisation moribonde de la marchandise, du profit, de l'individualisme et de la destruction de notre bien commun la Terre, OUI, j'ose me présenter à l'élection présidentielle d'avril 2022 pour présenter un projet de société véritablement démocratique et bénéfique au peuple Français.
Pour savoir qui je suis et quelles sont mes convictions voir > marcjutier.over-blog.fr/10082020 < Ce n'est pas aux médias dominants vendus aux banquiers et à l'oligarchie de ce pays de choisir les candidats à l'élection présidentielle mais à vous de faire ce choix ! Merci de prendre quelques minutes pour évaluer tout le sérieux de ma candidature et SVP, de la faire connaître (faites un copier/coller de l'URL de cette page sur facebook ou twitter par exemple !).
○ Page facebook (2500 ''J'aime'') - Marc JUTIER (Recherche Google) ○
OUI osons défier cette oligarchie qui nous mène en bateau depuis bien trop longtemps car
L'heure est grave !
D'une part parce que notre gouvernement nous ment au niveau sanitaire : "Une meilleure normalité, pas une nouvelle normalité" - World Doctors Alliance - odysee.com/@Miniver:4/Alliancemondialemedecin:1 [VOSTFR] Berlin 10.10.2020
Et aussi et surtout parce nos gouvernements successifs nous mentent sur les questions monétaires :
La question de la monnaie, de comment elle est créée et de quelle est la motivation de ceux qui la contrôle est primordiale ! La monnaie n'est qu'un moyen pour mobiliser l'énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens et… ce n'est pas le cas aujourd'hui et c'est bien le cœur du problème !!
En 2013, dans l'article : « Crise finale du capitalisme ou 3e Guerre Mondiale ? Françaises, Français, réveillez-vous ! »
(agoravox.fr/actualites/international/article/crise-finale-du-capitalisme-ou-3e-137789 - 107 000 vues)
je disais : "Ce que nous vivons, ce n’est pas une crise, c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité ! Il est plus que temps de nous réveiller et de foutre un bon « coup de pied au cul » aux banksters, aux multinationales et aux psychopathes qui dirigent le monde ! Ces fous veulent nous amener à une confrontation planétaire juste pour ne pas perdre le pouvoir." en 2020, le problème n'a pas fondamentalement changé ! On le sait, la crise finale du capitalisme est certaine ; la seule question c'est : quand ? 12 ans après la faillite de Lehman Brothers, l’éclatement d’une nouvelle crise financière mondiale semble imminent.
Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste à cause d'un système monétaire qui est, de fait, une énorme supercherie. Comme l'affirmait Irving Fisher en 1935 lors de l’écriture de son ouvrage méconnu 100% Money : « Et si notre système monétaire n’avait jamais été véritablement réfléchi ? » Le système monétaire ne serait qu’une pure contingence de l’histoire, modelée au cours des siècles par l’appât du gain des banquiers. Il serait la cause principale des épisodes récurrents de boom et de dépression dont souffrent les économies capitalistes depuis le début de son histoire, c'est-à-dire depuis l'invention de la monnaie ou de sa création ex-nihilo par les banquiers.
La science économique dans sa version « orthodoxe » ou néo-classique n'est rien de plus que le lavage de cerveau, le catéchisme imposé pour vous faire accepter les « lois » de l'économie de marché, autrement dit la dictature des maîtres de la monnaie : les banquiers. Il n'y a pas plus de loi du marché que de sciences économiques.
D'ailleurs, en ce qui concerne la naissance de la science ou de l'étude de ce phénomène : le capitalisme, il y a un accord assez large sur la date de naissance de l’économie politique (donc de l'étude du phénomène cacapitalisme). Le père fondateur de la discipline est Adam Smith ; et son inspirateur est Bernard de Mandeville. Voir à ce sujet les explications d'un philosophe contemporain Dany-Robert Dufour : "Pourquoi je tiens un petit texte oublié de Mandeville comme le logiciel caché du capitalisme ? « La fable des abeilles » et surtout un texte largement inconnu et pourtant primordial : « Recherche ou enquête sur les origines de la vertu morale » publié en 1714". Dans son dernier ouvrage : « Baise ton prochain : une histoire souterraine du capitalisme », M. Dufour dévoile l'acceptation de l'immoralité à la base du capitalisme : "il faut confier le monde au pervers, il faut absolument laisser aller à leurs finalités les vices". On trouve dans ce texte de Mandeville l'origine de la théorie du ruissellement ; M. Dufour explique également que la bande à Hayeck et sa société du mon pèlerin (l'origine du néo-libéralisme dans les années 1970) ont repris les textes de Mandeville et ont assumé complétement l'origine vicieuse du capitalisme. Les textes de Mandeville seront condamnés, mis à l'index et brulé en place public à Paris au 18e siècle. Dès le début le capitalisme est considéré comme une belle saloperie !
Pour résumer, le libéralisme classique dit ; moins l'État intervient, mieux c'est ! Pourquoi ? Parce que le marché est « naturel » et l'État ne peut que le perturber. Les ordolibéraux disent : non, les comportements humains ne sont pas naturellement favorables au marché … donc (qu'est ce que l'on fait ?) hé bien l'État doit intervenir ! Mais il doit intervenir à l'extérieur du marché pour le rendre possible et non pas intervenir dans le marché. En clair, le marché est toujours sacralisé (on pourrait dire divinisé !) comme étant indépassable, comme étant une loi naturelle !
Le moteur idéologique de la construction de l'UE c'est justement l'ordolibéralisme (Ordoliberalismus en allemand, né en 1932 à l'université de Fribourg) : une rigueur budgétaire de l'État, un contrôle de l'inflation - stabilité monétaire (zéro inflation ou très faible), de l'épargne découle un investissement dans les entreprises qui doit être rigoureux, une indépendance de la banque centrale et constitutionaliser la règle de la concurrence « libre et non faussée » (l'État est toléré comme arbitre pour le social). L'idée est donc de sanctuariser l'économie, de la mettre hors de portée du politique, de toute alternance politique.
Le système monétaire actuel n'est ni plus ni moins qu'une colossale escroquerie. Aucun pouvoir n'est éternel et l'infime élite qui est à la tête de cette escroquerie depuis trop longtemps (deux siècles environ) va certainement perdre son pouvoir un jour ou l'autre. Ce pouvoir, malgré sa violence, ne résistera pas aux feux de la vérité. Grâce à Internet, le subterfuge des banquiers est de plus en plus mis en lumière. La vérité sur le fonctionnement du système monétaire actuel, sur les intrigues, les manipulations et les dissimulations utilisées par les hommes qui nous tiennent en esclavage grâce à ce système est devenu un secret de polichinelle ; leur dictature est moribonde.
Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste à cause d'un système monétaire qui est une énorme supercherie ; ce système nous pousse toujours à plus de consommation et de « croissance » obligatoire afin simplement d'éviter l'écroulement de ce système monétaire. Débarrassés de ce système monétaire à réserves fractionnaires – c'est son nom – il est facile d'imaginer une civilisation beaucoup plus apaisée. Le problème, c'est que le pourcentage de la population qui comprend véritablement « l'arnaque » de ce système n'est peut-être pas encore assez élevé. Le regretté Bernard Maris a dit en 2014 dans un documentaire sur Arte (La dette, une spirale infernale ?) que ce n'était pas facile à comprendre, mais que oui, les banquiers font de la fausse monnaie depuis toujours.
Notez que par l’article 104 du traité de Maastricht en 1992, puis par la loi n° 93-980 du 4 août 1993 et finalement par l'article 123 du traité de Lisbonne, la planche à billets, en ce qui concerne les besoins de l'État, a été privatisée. La France a payé 1400 milliards d'€ d'intérêts sur sa dette de 1979 à 2018. Le service de la dette de l'État était de 48,5 milliards d'€ en 2013. Et si vous cumulez les intérêts annuels que payent l'État, les entreprises et les particuliers, vous arrivez à 129 milliards d'€ par an soit 45 % des recettes fiscales nettes du budget de l'État ou 93 % des recettes de la TVA en 2014. Nous payons environ 6 % de notre PIB (2181 milliards d'€ en 2015) pour utiliser une monnaie que l'on pourrait faire nous-mêmes ! Avec ce processus, le système monétaire de réserves fractionnaires, la planche à billets a toujours été une affaire privée pour les particuliers et les entreprises, mais depuis une cinquantaine d'années (réformes Debré-Haberer en 1966-68), l’État, sous pression des banquiers, s’est interdit à lui-même de créer la monnaie dont il avait besoin. C’est une trahison des hommes politiques, le gouvernement se refuse un privilège qu’il a accordé aux banques par la loi, il se fait le serviteur des banquiers et méprise le peuple.
La monnaie, comme l’air ou l’eau, ne peut être qu’un « bien public ». La création monétaire est aujourd’hui une affaire privée, elle n’aurait jamais dû l’être, c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité. La création monétaire ne peut être qu’une affaire publique. Tous les intérêts devraient être payés à l’État. L’État souverain devrait être le seul créateur de la monnaie fiduciaire et scripturale. Précisons que ces deux termes se confondent si l’État contrôle la création monétaire.
On peut choisir de ne pas se poser de questions, de continuer à penser que le capitalisme est là jusqu’à la fin des temps, que le pouvoir des banquiers est inébranlable et ne pas s’inquiéter des dégâts causés par un système inique, absurde et violent, ou alors, on peut choisir de prendre le « risque » de réinventer le monde pour demain. C’est à nous de choisir et c'est déjà le choix que font beaucoup ! Regardez ce qui se passe, constatez l'imagination débordante de nos concitoyens sur Internet. Acceptez la vérité ou refusez-la ; mais, avec ce livre (La MONNAIE, hier, aujourd'hui et demain. Du diktat des banquiers à une civilisation adulte (table des matières : fraternitecitoyenne.com/liens-du-livre , préface de Serge Latouche), vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas !
Alors, tant que la majorité des citoyens n’aura pas compris :
(a) que les seules richesses qui existent sont l’énergie humaine (l’ingéniosité, le savoir-faire, le travail…), ses réalisations (immeubles, usines, machines, logiciels, œuvres d'art, inventions, ...) et les richesses naturelles ;
(b) que la monnaie est un instrument de manipulation au service d’une toute petite minorité sur l’ensemble de l’humanité : c’est l’instrument de management suprême ;
(c) que les banquiers ont donc à leur disposition depuis plus de trois siècles un instrument : la monnaie bancaire ou scripturale qui leur donne tout pouvoir ;
(d) que cette fausse monnaie est à l’origine de la plupart de nos problèmes et
(e) une fois débarrassés de l’esclavage de cette monnaie-dette, et grâce à la prodigieuse efficacité de nos moyens de production, l’humanité pourra enfin accéder à un véritable âge de prospérité.
Donc, tant qu’une majorité de citoyens n'en sera pas consciente, les banquiers et leurs valets (la plupart des économistes, des journalistes et des politiques de la majorité et de l’opposition officielle) continueront à nous manipuler et à nous tondre comme des moutons !
Il faut savoir :
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que depuis le 15 août 1971, toute la monnaie en circulation sur la planète est de la monnaie de singe (monnaie-fiat) – la dernière monnaie gagée sur l'or était le dollar US à hauteur de 35 $/l'once (on oublie de dire que le premier choc pétrolier en 1973 est directement causé par cette annonce de Nixon du 15 août ; en clair, le gouvernement US a invité les Saoudiens à vendre leur pétrole en dollars et uniquement en dollars et a rappelé que – en cas de refus d'obtempérer – la Septième flotte n'était pas loin de leurs puits !) ;
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que les banquiers font de la fausse monnaie depuis toujours – c'est le système à réserves fractionnaires ;
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que cette fausse monnaie a permis la prédominance quasi-universelle de la civilisation de la marchandise sur la planète ;
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que depuis cinquante ans, l'État français s'est interdit de faire marcher sa planche à billets. Et cette interdiction a été reprise par les articles 104 (Maastricht) et 123 (Lisbonne) ;
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que la banque centrale américaine – la Fed – n'est ni fédérale ni publique, c'est un consortium de banques privées et
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que pour se sortir de l'impasse, il existe une solution : la réforme monétaire dite du 100 % Money ou monnaie pleine.
À l'origine de cette mystification il y a simplement la volonté de quelques banquiers d'enlever aux nations leur souveraineté monétaire. En effet, tel que Mayer Amschel Rothschild l’expliquait : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait ses lois ». C’est ce qui se passa en 1913 avec la Federal Reserve System ou Fed, la banque centrale des États-Unis. Ne pouvant plus battre monnaie, les États sont obligés d’emprunter à des banques privées. Dirigés par des complices au service de ces banksters, les pays s’endettent trop, provoquant toutes les crises depuis le 19e siècle. Les États affaiblis par les crises, il est alors facile de remplacer les gouvernements incompétents ou complices par des représentants de ces banques et ainsi asservir les peuples par le paiement d’intérêts sur les intérêts, d’impôts exorbitants, de taxes, d’inflation comme en France, en Italie, en Grèce, en Espagne, au Portugal, en Tunisie, en faisant croire aux peuples qu’ils sont aussi responsables car ils ont élu ces gouvernements incompétents et/ou corrompus.
La masse monétaire d’un pays devrait représenter la richesse qu’il produit pour la mettre en vente. Dans une démocratie, c’est au débat politique que devraient revenir les décisions essentielles relatives à la monnaie du pays, à savoir : sa création, sa masse totale et les rôles qui lui sont attribués.
Pour reprendre une métaphore chère aux Anciens, la monnaie est à l'économie ce que le sang est au corps humain ; s'il en manque, c'est l'anémie, s'il y en a trop, c'est la congestion. Il ne viendrait à l'idée de personne d'emprunter son propre sang. Alors, il revient à l'État, pour le service du bien commun, d'assurer l'offre à la demande de monnaie pour qu'enfin l'économie soit au service de l'homme.
La monnaie est aujourd'hui un instrument de manipulation d'une infime minorité sur l'ensemble de l'Humanité. Cette minorité se prend pour « Dieu », et l'on comprend pourquoi lorsque l'on constate l'implication des problèmes d'argent dans la société : divorces, mafias, drogues, exploitation, etc.. Le citoyen doit réaliser à quel point le problème monétaire est primordial. La monnaie doit devenir un instrument au service de l'Humanité et pour cela il doit être contrôlé par des représentants issus d'un processus démocratique et non pas par une cabale privée comme aujourd'hui.
La vérité nous crève les yeux. Bien entendu, tout ou presque est sous contrôle des marionnettistes de la finance. L'Histoire récente révèle de façon incontestable que pour l'Empire Occidental de la finance, le schéma est toujours le même. Si tel ou tel homme politique ne peut être contrôlé, il est éliminé, si celui-ci est hors de portée (trop bien protégé), on utilise les minorités, religieuses ou autre, pour le renverser. Ou encore, on pose un embargo contre son pays et si tout cela ne fonctionne pas, on envoie la 5e flotte - United States Fifth Fleet.
Deux présidents de la 5e République ont été employés de la banque Rothschild : G. Pompidou et le président actuel. Les maîtres de l'argent financent et corrompent les différents partis politiques, ils détiennent les principaux médias, contrôlent l'appareil judiciaire, le marché du pétrole et le complexe militaro-industriel. Ils peuvent truquer des élections, renverser des gouvernements, organiser des coups d'État ou des révolutions, et ils n'hésitent pas à financer des dictateurs et des organisations terroristes si cela peut servir leurs intérêts. Ils pratiquent les assassinats politiques, le blanchiment d'argent, la corruption, le trafic d'armes ou de drogue à grande échelle, ils utilisent le terrorisme d'État, ils manipulent l'opinion publique pour déclencher des guerres, ils peuvent spéculer sur la faim dans le monde, piller les ressources naturelles d'autres pays en toute impunité, tuer des centaines de milliers d'innocents et les appeler "dommages collatéraux" en se posant comme les sauveurs et les défenseurs de la démocratie et en présentant leurs opposants comme des terroristes. Ils asservissent des Nations entières par la dette, peuvent travestir l'histoire, ils protègent les plus grands criminels de guerre, les réseaux pédocriminels et les plus grands pollueurs ou empoisonneurs de la planète. Ils nous demandent de nous serrer la ceinture, d'accepter leurs mesures d'austérité, disent qu'il n'y a plus d'argent pour l'éducation de nos enfants ou la retraite de nos anciens, mais ils financent les conflits armés. Ils vont, évidemment, totalement à l'encontre de l’intérêt général et parce qu'ils nous laissent, de temps en temps, voter pour les gens dont ils financent les campagnes électorales et font partie de leurs réseaux, nous, nous continuons à croire que nous sommes en démocratie.
La seule chose que les marionnettistes de la Finance ne pourront jamais contrôler, c'est une véritable prise de conscience citoyenne. À partir du moment où les citoyens s’investiront politiquement à l'unisson dans un projet de société réellement axé sur le bien commun et qu'ils comprendront l’ampleur des exactions et trahisons faites par les différents pantins qu'ils ont élus, les solutions apparaîtront évidentes pour tous. Encore faut-il que les citoyens en aient connaissance. Encore faut-il que les citoyens fassent connaître ces vérités à leurs concitoyens. Quoi qu'il en soit, c'est à chacun de nous de faire le choix. Soit nous continuons à consommer, à travailler et à polluer sans conscience, soit nous nous arrêtons pour prendre véritablement conscience de ce que nous faisons. Ce choix individuel, lorsqu'il deviendra majoritaire, changera forcément le monde.
Afin que le système monétaire à réserves fractionnaires ne s'écroule pas, il faudrait une croissance obligatoire jusqu'à la fin des temps, même si on doit tout détruire sur cette planète et mettre en esclavage salarial les 99 % de la population. Et c'est encore mieux quand le taux de chômage est élevé (voir l'annexe 1 sur le nairu), comme ça vous êtes plus docile et il y a moins d'inflation, ce qui arrange bien évidemment les rentiers, les banquiers, les 1 %.
La chute du Mur de Berlin a été un événement politique considérable. Du jour au lendemain ou presque, le "contre-capitalisme" est démantelé, laissant le champ libre à une économie de marché planétaire. Le combat idéologique que nous mène ce système avec pour prétexte l'austérité afin de rembourser une « dette » est un véritable défi à la démocratie ; et à travers ce défi une atteinte à l'intégrité des nations, des peuples et de leur souveraineté. Fondé sur un économisme scientiste qui voit dans l’avènement de la société de marché l’accomplissement de l’Histoire universelle et la réalisation de la nature humaine, le néolibéralisme, par le biais d’une avant-garde d’économistes professionnels, promeut la production de l’homme nouveau adapté au marché mondial ; il use, pour ce faire, de la propagande des médias de masse et soumet ainsi chaque individu à la discipline managériale qui lui impose l’entreprise comme modèle de réalisation d’un soi préalablement défini comme producteur-consommateur. Il contribue ainsi à l’institution du marché comme totalité et s’emploie à détruire tout ce qui viendrait entraver son totalitarisme.
La société de consommation actuelle a tendance à enfermer les gens dans des attitudes individualistes où chacun s’isole et vit pour lui-même. Pour en sortir, il faut reconstruire une société plus solidaire, qui permette un partage plus égalitaire des richesses et offre une promotion à chaque être humain. Notre société trop souvent mécanique, froide et impersonnelle, souffre d’une déshumanisation, de logiques strictement comptables et de perspectives à courte durée. Une citoyenneté bien comprise devrait instaurer davantage de partage, de fraternité et de liberté pour conduire des actions créatrices d’avenir. Choisir de résister, c’est faire un choix de vie, pour préserver la vie, et ce choix engage pour toute une vie.
Il est difficile d'être un homme politique de conviction de nos jours. On risque gros en défendant le bien commun. Il n'est pas facile de faire une politique du peuple souverain qui déplaît par nature aux puissances banquières et industrielles et à leurs serviteurs : les grands médias. Vous serez décrédibilisé, ridiculisé, voire même éliminé ! L'ordre mondial néolibéral n'aime pas la liberté des citoyens, le principe d'égalité est vidé de son sens et la notion de fraternité n'existe que dans les cercles du vrai pouvoir : Bilderberg, Le Siècle, etc.. Mais quelle que soit leur puissance, les banquiers et leurs larbins finiront par perdre leur pouvoir. La chute de l’Empire n'est donc qu'une affaire de temps, et elle entraînera tout aussi inéluctablement la chute du Système néolibéral dont il est la matrice.
Le modèle de société néolibéral qui a produit la contre-civilisation qui est la nôtre est en effet un cancer qui ronge et détruit non seulement le vivant, la terre, les mers, l’air, tout ce qui marche, nage, pousse ou vole, mais qui annihile aussi les sociétés humaines, les rabaissant à un agglomérat d’égoïsmes en concurrence, de consommateurs compulsifs aliénés aux « cerveaux disponibles ». Notre planète n’est déjà plus capable de digérer toutes les déjections de ce Système de production de masse et, si cette folie propre à « consommer tout l’Univers » ne cesse pas, il est évident que nous disparaîtrons.
En provoquant une surchauffe du Système par sa dynamique propre, l’Histoire pourrait nous sauver de nous-mêmes en nous aidant à tirer la chasse sur cette pègre néolibérale, et en offrant l’opportunité d’un changement radical. Il appartiendra alors aux sociétés civiles de saisir la chance offerte, de cesser de s’indigner inutilement pour enfin se révolter. Ce sera d’abord pour empêcher le Système d’instaurer un totalitarisme qui constitue son aboutissement naturel et sa dernière ligne de défense, ensuite pour se prendre en mains et développer d’autres façons d’être, de cohabiter et de coopérer, pour nourrir d’autres idéaux que la propriété et la possession, pour chercher à bâtir cette société libre, égalitaire et décente que nous souhaitons tous finalement.
J’apporte ici, avec cet ouvrage, ma pierre à ce combat de résistance pour la défense inconditionnelle de l’être humain et des valeurs démocratiques. Ma conviction profonde c'est que, quel que soit le lieu de naissance et la couleur de peau, il y a une seule race, la race humaine. Aucune communauté, aucune religion, aucune ethnie n'est supérieure aux autres et n'est élue – par je ne sais qui ? – pour prétendre gouverner le monde. À toutes les époques il y a eu des hommes et des femmes qui se sont battus pour une société meilleure, qu’il s’agisse des esclaves dans l’Antiquité ou des Sans-culottes de 1789, sans oublier les Résistants de 1940-1944, les opprimés ont toujours fini par gagner. Il faut donc poursuivre le combat contre les inégalités, sans tomber dans la lassitude, le pessimisme ou le désarroi ambiant, car les victoires résultent d’un engagement constant. On n’est pas citoyen par intermittence, ni en surface : la conscience citoyenne s’ancre profondément dans l’être et l’accompagne sa vie durant.
La base même pour construire une alternative au capitalisme mondialisé, c’est la souveraineté populaire, l’appartenance à un peuple. Il nous faut partir des identités des peuples qui composent les États pour défendre l’intérêt général contre celui des transnationales de droit privé, l'oligarchie financière. Pour recueillir l’adhésion populaire et donc une majorité aux élections, il ne faut pas, bien que le combat contre la mondialisation libérale soit un combat international, nier l’identité nationale qui est un repère pour le peuple afin de résister et construire de nouvelles solutions « du vivre ensemble » sur un territoire. Mais gardons-nous, bien sûr, de tomber dans l’étroitesse d’esprit du nationalisme qui consiste à caresser dans le sens du poil les idées et les émotions les plus simplistes.
C’est au peuple français de trouver les solutions particulières qui correspondent à sa culture, à son histoire, à son territoire. Et de toute façon, il n’est pas possible de lutter contre la mondialisation financière sans un réel pouvoir au niveau de la Nation française, un État fort qui puisse s’opposer fermement aux transnationales, aux fonds de pension, au pouvoir financier mondialisé. C’est donc uniquement au niveau national qu’il peut y avoir un changement politique radical. Cela n’empêche pas de « travailler » de concert avec les autres mouvements qui sont pour une autre mondialisation partout sur la planète, notamment en Europe, bien entendu, mais aussi en Amérique du sud par exemple. La France pourrait, comme il y a un peu plus de deux siècles, montrer l’exemple d’un changement radical de régime. La France, terre d'accueil, de tolérance et d'échange, territoire relativement homogène aux niveaux linguistique, historique, géographique et culturel pourrait être le théâtre d'une vraie révolution, mais contrairement à l'exemple sanglant de 1789, elle pourrait donner l'exemple d'une révolution non-violente, d'une révolution profonde des rapports sociaux et de notre relation à la Nature.
Pour sortir de la crise monétaire absurde dans laquelle nous sommes englués, je propose une réforme monétaire inspirée du « 100 % Money », c’est-à-dire un contrôle de la totalité de la masse monétaire en circulation par l’État et deuxièmement un revenu d’existence pour tout un chacun. Il est évident que ces réformes ne pourront se faire qu’au niveau de l’État français en commençant par la nationalisation de toutes les banques françaises. En effet, comment se mettre d’accord sur des réformes aussi importantes au niveau européen ?
Seul un État fort peut lutter contre cette « infime minorité », autrement dit l'oligarchie financière transnationale. Et il faut vraiment avoir le cerveau lavé par la propagande médiatique pour ne pas le comprendre. Malheureusement, « ils » font plutôt bien leur boulot !
Sans souveraineté nationale, aucun combat politique n'est possible ; sans souveraineté, on peut déclarer tout de suite forfait contre la mondialisation libérale.
En clair, je pense qu'il n'est pas utile de faire de la politique au niveau national si l'on ne parle pas de :
1/ Comment fonctionne le système monétaire ?
2/ Qui contrôle l'émission monétaire actuelle ?
3/ La possibilité de réformer cette émission de façon à ce que cela soit bénéfique à l'ensemble des citoyens, et non pas à une infime minorité.
Cette crise est là pour abattre les nations et les démocraties, c'est un « coup d'État » de la finance internationale. Elle le fait en confisquant la souveraineté des Nations grâce à la dette de leurs gouvernements, avec la complicité des agences de notation. Elle détruit les économies nationales en imposant aux Nations un libre-échange débridé avec la complicité de l’OMC et du FMI afin de leur imposer un Nouvel Ordre Mondial, autrement dit : une dictature financière planétaire. Bref, nous vivons depuis trop longtemps dans une dictature de banquiers et ce régime est basé sur des valeurs telles que l’argent à tout prix, la croissance et le progrès à tout prix, la science sans conscience, la concurrence et la concentration exacerbées.
Ce que nous vivons, ce n’est pas une crise, mais c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’Humanité ! Il est plus que temps de nous réveiller et de foutre un bon coup de pied dans cette fourmilière de banksters, de multinationales et de psychopathes qui dirigent le monde. Et il faudra le faire un jour ou l’autre, c’est incontournable. Ces fous veulent nous amener à une confrontation planétaire juste pour ne pas perdre le pouvoir. Nous le savons, les médias nous ont menti sur les guerres de Syrie et de Libye et non seulement ils nous mentent, mais ils nous manipulent par leur propagande incessante sur la rigueur budgétaire, la crise financière, etc.. Réveillons-nous ! Cette crise monétaire est virtuelle puisqu’elle est basée sur une monnaie créée à partir de rien par les banksters qui contrôlent la Fed. Les gouvernements européens et américains sont soumis à ce pouvoir discret mais totalitaire : les banquiers qui contrôlent la Fed et les groupes de personnes présentés dans la partie 3 de cet ouvrage qui nous considèrent, ni plus ni moins, comme du bétail.
Alors, on arrête de se faire manipuler, de s'agiter, de se laisser distraire et de consommer n'importe quoi ; on réfléchie et on fait autrement. Quoi qu'il en soit :
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Le système financier transatlantique de la City et de Wall Street est fondamentalement néfaste pour l'humanité.
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Le jour ou une majorité de citoyens auront compris la nocivité de ce système, l'empire des banksters, le système capitaliste, va s'effondrer aussi sûrement que l'empire Soviétique s'est effondré.
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Pas de panique car les solutions pour remplacer ce système basé sur la cupidité et l'égoïsme existent et peuvent s'appliquer du jour au lendemain.
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Nous n'avons jamais été aussi riches de savoir-faire, de machines, d'usines, de logiciels, etc ;
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par contre, nous n'avons jamais eu un environnement aussi dégradé (air, sols, nappes phréatiques, rivières et biotopes).
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le plus urgent, ce n'est pas une réforme constitutionnelle mais une réforme du système monétaire.
L’indignation n’est pas suffisante, le combat politique s’impose, il s’agit de chasser du pouvoir cette oligarchie manipulatrice. Je suis choqué par la mentalité ou l’idéologie de l’oligarchie, de la ploutocratie. Les solutions existent pour vivre sainement, paisiblement et confortablement dans notre pays une fois débarrassés de ce gouvernement de privilégiés qui ne défendent que leurs intérêts. La solution est politique au sens noble du terme.
En fait, une crise monétaire, économique et financière globale serait un bienfait pour l’humanité. D’abord, on arrêterait de travailler, de consommer et de polluer en toute inconscience, et ensuite, ce pourrait être l’occasion d’une émancipation extraordinaire. Concrètement, matériellement, rien ne serait perdu. Seule la possibilité de mobiliser l’énergie humaine, le pouvoir sur l’autre, serait abolie. Ce serait une vraie révolution, une réelle abolition des privilèges. Les grands perdants seraient les grands manipulateurs de finances. Pour 99 % de la population, cela ne sera pas bien grave. L’énergie de tout un chacun sera libérée du carcan, des chaînes de la finance internationale et de ses geôliers : les financiers. La seule vraie richesse, c'est notre énergie humaine. Il n’y a pas eu de guerre en Europe depuis des dizaines d’années, et grâce au travail et au génie humain, nous avons des moyens de production d’une extraordinaire efficacité ; en fait, nous n’avons jamais été aussi riches. Le jour où les peuples réaliseront cela, nous pourrons enfin mettre en place une société de convivialité, de temps choisi, d’harmonie et de respect.
Depuis la crise de 2008, depuis le mouvement Occupy Wall Street aux USA en 2011 et maintenant celui des Gilets Jaunes en France ainsi que dans le reste du monde, des millions de citoyens sur la planète ont pris conscience que la supercherie a assez duré ! « We are the 99 % » et nous ne pensons pas que la seule finalité de l’humanité soit de produire, de « con-sommer » et de passer son existence à comparer les prix dans une économie de marché mondialisée. Il va nous falloir choisir entre la survie d’un système absurde, stupide et violent qui fait du profit sa seule finalité, et la survie de notre humanité et de notre environnement. C’est donc soit la survie des peuples (les 99 %), soit la survie d’un système contrôlé par bien moins de 1 % de la population pour son seul bénéfice.
Nous sommes conscients de l'immense potentiel de notre société technicienne et de la vulnérabilité de notre patrimoine naturel. Nous considérons que les mots « Liberté, Égalité et Fraternité », inscrits au fronton de nos mairies ne sont pas vides de sens ; que l’héritage de la Révolution Française, des révolutions du 19e siècle et des luttes sociales du 20e siècle, et en particulier dans les résolutions adoptées par le Conseil National de la Résistance (parmi les mesures appliquées à la Libération, citons la nationalisation de l'énergie, des assurances et des banques…) sont notre fierté et nous lient dans un destin commun : la France. Nous considérons que la seule politique digne à mener est la lutte contre le pouvoir mafieux des banksters. Les hommes politiques qui ne remettent pas fondamentalement en cause ce pouvoir occulte, sont soit achetés, soit menacés, soit idiots.
Je refuse tout discours médiatique qui tenterait de nous faire croire à la nécessité de l’austérité et de la « croissance » pour sortir de la crise. Je refuse que nous nous soumettions au maître sournois mais bien réel qu’est le « système monétaire de Réserves Fractionnaires » ou, autrement dit, à la manipulation par la monnaie « dette » émise par les banques. Notre société est certes au pied du mur mais nous assistons, grâce à Internet, à une prise de conscience de l'ensemble des citoyens qui se posent des questions de fond. Le haut niveau d'information disponible sur Internet et l'intelligence collective qui se développe grâce aux réseaux sociaux, nous permet de redonner tout son sens à la Politique.
Primaire Gilets Jaunes 2021 – Primaire Citoyenne
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