Texte fondateur de FC
Les citoyens français qui choisissent de rejoindre Fraternité Citoyenne attachés tant à la nation républicaine, lieu d'expression des principes de liberté, d'égalité, de fraternité, de laïcité, de solidarité et de démocratie qu’aux principes de bases définis ici, appellent les citoyens français dans leur ensemble à résister à la " World Company " et à la dictature financière. Et à se rassembler pour constituer des comités citoyens dans toutes les circonscriptions législatives de France dans le but de présenter des candidats qui représenteront véritablement les intérêts du peuple français au sein du principal parti politique de France : le Parti Socialiste (en clair, de défendre les candidats aux investitures socialistes pour les législatives qui représentent le mieux notre programme). Notre politique a pour objectif la satisfaction des besoins des personnes par l'utilisation équitable et soutenable des ressources limitées de la planète. L'abolition de la pauvreté, la diversité culturelle, l'équité sociale et la dignité humaine devraient être la base de tout programme politique.
Considérant :
que la politique actuelle, ne prend en compte que les dimensions économique et financière,
qu'un matérialisme omniprésent et organisé s'est emparé du monde et qu'il génère violence, mercantilisme, amoralisme,
que la politique actuelle est dominée par la dictature marchande ;
que le capitalisme, son dernier avatar le néo-libéralisme et sa religion la technoscience mènent l'humanité à sa perte ainsi qu'à une dégradation irréversible de notre patrimoine collectif, notre habitat commun, partagé avec la vie sur Terre ;
que le pouvoir de l'argent humilie les dignités, insulte l'honnêteté, et assassine les espoirs ;
que le crime historique de la concentration des privilèges, des richesses et des impunités démocratise la misère et le désespoir ;
qu'une nouvelle guerre mondiale se livre, mais à présent contre l'humanité entière et la vie même;
que la nouvelle répartition du monde consiste à concentrer le pouvoir dans le pouvoir et la misère dans la misère ;
que l'armée moderne du capital financier et des gouvernements corrompus avance et conquiert de la seule manière dont elle est capable : la destruction et l’asservissement ;
que la nouvelle répartition du monde détruit l'humanité ;
qu'au lieu d'humanité, ils nous offrent des indices boursiers ;
et qu'au lieu de dignité, ils nous offrent la mondialisation de la misère ;
Nous déclarons qu’un autre monde est possible et
nous établissons ensemble ce que nous voulons :
Un autre monde est possible, il est nécessaire. Il est plus “ réaliste ” que ce monde, transformé en marchandise, que nous impose le capitalisme. Certains veulent pousser le plus loin possible le recul des conquêtes sociales, des libertés individuelles, des services publics, des droits civils et politiques hérités des combats républicains : c’est le projet du grand patronat et de la droite. D’autres entendent concilier la toute puissance du capital financier et un socle restreint de droits et de garanties sociales : c’est le programme de la gauche sociale-libérale. Dans les deux cas, la main reste aux marchés financiers ; les profits flambent et le peuple trinque. Tout cela, nous l’avons expérimenté, dans l’alternance au pouvoir de la droite et d’une partie de la gauche qui a renoncé à changer véritablement les choses. Nous voici donc devant un choix : ou bien nous poursuivons dans la même veine, ou bien nous changeons de cap. Nous proposons d’en finir avec l’impasse de l’alternance et de passer à une véritable alternative. Nous voulons pour cela bouleverser la donne à gauche, avec l’ambition de rendre majoritaire une alternative antilibérale fondée sur le soutien et la mobilisation populaire.
Un programme politique fait par et pour les citoyens.
Il s’agit pour nous de s’engager autour d’un projet politique durable, qui ne saurait s’épuiser dans l’élection d’un président de la République ou de députés, ni dans l’application de quelques mesures symboliques. Il est pour nous fondamental de redonner du sens à l’action politique et de montrer qu’une véritable volonté politique est crédible.
Ces propositions, nous les soumettons donc au débat public, pour les enrichir et pour qu’elles prennent force collective. Car nous le savons bien : aucun programme, aucune politique ne peuvent s’imposer et changer l’ordre des choses s’ils ne sont pas les fruits d’un vaste mouvement populaire et citoyen, où chacun discute, décide et contrôle. Sans peuple acteur, et en permanence, sans mobilisation sociale et politique vigilante, aucune transformation sérieuse n’est envisageable. Nous ne disons pas : “ Faites-nous confiance ”, mais “ bâtissons ensemble, à tout moment et partout ”. Si nous portons ensemble l’exigence de ce que nous voulons, une nouvelle donne est possible pour la France.
La prise de conscience de l'existence et de la gravité de la crise écologique et sociale, de l’absurdité et de la violence du capitalisme, conduit au dépassement des antagonismes de classe ou de catégories sociaux-professionnelles par la découverte d'une solidarité de destin entre tous les membres du corps social. Notre projet politique se doit d’affirmer la nécessité d'assurer à chacun l'accès à une activité digne et à un revenu décent. Il vise également à réduire les disparités de qualité de vie, d'accès à la connaissance et à la santé. Ce sont, au-delà des considérations éthiques qui plaident en ce sens, des enjeux fondamentaux pour la cohésion sociale. Le « progrès » ne se mesure pas au pouvoir d'accumuler des biens matériels mais aux potentialités d'épanouissement physique et mental de chacun et à la capacité de donner un sens à sa vie. La pensée écologiste est née de la prise de conscience des menaces que les activités humaines font peser sur la planète.
L'augmentation sans précédent des mobilités, l'accélération d'un progrès technique non maîtrisé constituent des défis inédits, dont l'enjeu est vital, puisque c'est la vie elle-même qui est menacée. L'épuisement des ressources, l'effondrement de la biodiversité, les concentrations humaines dans de vastes mégalopoles, ou l'accumulation de moyens de destruction massive, exigent la mobilisation sans retard de toute l'humanité.
Une politique harmonieuse doit permettre à chacun de se loger, de se nourrir sainement, de se cultiver, de s'informer et de se soigner sans remettre en cause par son mode d'existence la survie de l'humanité sur la planète. Cela implique une décroissance de la production de déchets, de la consommation d'énergies non renouvelables et une utilisation rationnelle des matières premières et des espaces fertiles. La société des siècles à venir sera écologique parce que l'ère du monde fini a commencé. Au fond, la crise écologique est une crise relationnelle : entre l'Homme et la nature et l'Homme avec lui-même. Elle est environnementale, urbaine, sociale et culturelle. Elle concerne sans distinction tous les êtres humains, où qu'ils vivent et quel que soit leur niveau de développement, ou leur position sociale. Sa résolution conditionne la réponse à toutes les autres questions. C'est ce défi sans précédent que l'humanité se doit de relever, si elle veut survivre. Pour y parvenir, il est urgent d'agir sur les causes de cette crise afin de permettre à la planète, et à ceux qui y vivent, de recouvrer harmonie et équilibre.
La relation des communautés humaines avec leur territoire et la vie qui s'y développe, est le reflet d'une culture collective et d'une organisation sociale. Dans un pays développé comme la France, les choix réalisés dans tous les domaines de la vie publique (agriculture, industrie, transports, énergie, urbanisme, travail,...) sont révélateurs d'un état d'esprit vis à vis de la planète. Ils sont décidés au nom de la collectivité dans les institutions issues du suffrage universel. C'est pourquoi, la réponse est nécessairement politique, au sens noble du mot : l'art de gérer la cité. Mais, elle est aussi culturelle. C'est une vraie révolution des mentalités que l'Homme est invité à réaliser. Les formations qui ont gouverné le pays n'ont jamais été capables de quitter leur logique de croissance, que ce soit en matière démographique, de consommation d'énergie et d'espace, ou de mobilités. Les valeurs non marchandes comme l'harmonie d'un paysage ou la convivialité d'un quartier pèsent de peu de poids face aux exigences de l'économisme. La violence parait légitime à la droite et à la gauche lorsqu'elle sert l'État ou leur vision du progrès. La résolution armée des conflits, l'écrasement de l'individu par la machine étatique, certaines technologies, expriment cette violence que nous devons rejeter.
La prise en compte des limites de la planète conduit à écarter l'option de la croissance matérielle, présentée comme une réponse au chômage. Le respect de la vie comme éthique de la responsabilité humaine s'oppose à l'exploitation sans retenue des ressources de la Terre et à la domination sans partage de tout le territoire planétaire. L'exigence de solidarité mondiale ne supporte pas les égoïsmes nationaux. La non-violence récuse la vision matérialiste et déterministe du progrès pour lui substituer une définition qualitative, humaniste et culturelle.
Pour conserver intacte notre capacité à inventer l'avenir, nous devons rester libres de tout héritage idéologique, sans pour autant être ignorants de l'Histoire. C'est le pouvoir réel qui nous intéresse, car lui seul permet de faire changer le cours des choses. Il ne s'acquiert qu'avec un appui majoritaire de l'opinion, les moyens de contrôler la technocratie, et l'assurance d'être autonome vis-à-vis des pouvoirs économiques. Notre ambition est de contribuer au progrès des comportements individuels citoyens et collectifs.
Marginalisation du pouvoir politique et de la démocratie représentative, incapacité à répartir équitablement les ressources de la planète ainsi que l'effort nécessaire pour les produire, disqualifient le libre échangisme dans une économie mondialisée. Elle montre une incapacité à intégrer autrement que de manière marginale ce qui relève du qualitatif. Elle justifie la production par la nécessité d'amortir les machines et de faire circuler l'argent. Le capitalisme tend à se libérer du travail, il est contraint de l'exploiter et il tend à s'organiser pour ne surtout pas avoir à le valoriser. L'opportunité de la production n’est soumise à l'examen de son utilité sociale à aucun moment. Ce système se satisfait d'une standardisation où se dissolvent l'intégrité des individus et la diversité de la vie sur Terre.
Nous devons, par respect pour les générations qui nous suivent, prendre soin de notre patrimoine collectif : la vie sur Terre. Deuxièmement, une valorisation de l'individu pour autant qu'il contribue au bien commun, à l'effort collectif, est opposée à l'individualisme irresponsable. Troisièmement, et cela va de soi, un respect tout particulier de la personne humaine, de sa dignité, au fait que toute personne doit être considérée comme rationnelle, responsable, tolérante et autonome. Entre autre, l'alternative au capitalisme c’est un vrai service public pour les besoins de base arbitrée par les citoyens et les assemblées élues au niveau national et régional. L'initiative et l'entreprise individuelle trouveront leur place dans ces nouvelles règles. Le but de ce programme Politique est, justement, de commencer à définir les règles de cette alternative pour déboucher sur une nouvelle constitution.
Le Saint Empire Américain est la superpuissance économique, politique, médiatique, culturelle et militaire sur laquelle s'adossent les grandes organisations multinationales industrielles et financières. Elles veulent nous faire entrer dans un " nouveau monde " dans lequel se développent :
une richesse globale croissante de plus en plus inégalement répartie, la croissance des inégalités sociales, les inégalités entre les pays développés et sous-développés, la croissance du nombre global de chômeurs et de précaires, la destruction des services publics,
la tendance à l'éclatement des États-Nations (sans lesquels la perspective de la démocratie républicaine est un vain mot),
la charité institutionnalisée en lieu et place de la solidarité républicaine, une remise en cause de la liberté citoyenne par la confiscation des médias, de l'institution scolaire, des services publics (hôpitaux, poste, transports, etc.) au service de la "World Company",
une Europe libérale et la " marchandisation de toutes les activités humaines ", une attaque intolérable contre les souverainetés nationale et populaire, l'aggravation des pollutions causées par les tenants des lobbies industriels et agricoles menant à la destruction de l'environnement et des espèces.
Le démantèlement et la paupérisation des services publics s'accélèrent. Les inégalités se creusent, tandis que les spéculateurs s'enrichissent de plus en plus et de plus en plus vite. La corruption et la déresponsabilisation sévissent chez beaucoup d’élus. Le laisser faire en matière de protection de la nature reste la règle, aucun contrôle, aucune sanction ne sont mis en place pour faire respecter les réglementations en la matière, pourtant très insuffisantes. Le 1er janvier 1999, la France a perdu son pouvoir de battre monnaie qu'elle avait déjà délégué aux banques privées depuis fort longtemps. Ce sont désormais les technocrates de la BCE qui pilotent la masse monétaire en circulation. Le gouvernement français qui était déjà aux ordres des transnationales et de l'oligarchie financière internationale n’est plus qu'un exécutif dans tous les sens du termes.
C'est pour toutes ces raisons que l'urgence politique exige la constitution d'un parti politique populaire, républicain, laïc, et écologique. Car la majorité et l'opposition parlementaire servent, tels des pro-consuls, la " World Company ". Il est grand temps de changer de cap, de rompre avec le réformisme et de développer un autre projet.
Malgré les catastrophes écologiques, les modifications climatiques, la pauvreté croissante, le renforcement du pouvoir des puissants au mépris de la vie sous toutes ses formes, aucune mesure politique sérieuse n'a été prise par les gouvernements successifs. Si rien ne change, nous courons tout droit à des catastrophes majeures. Il est donc urgent d'agir, si nous voulons sauver ce qui reste de notre environnement et de notre humanité. Nous aspirons à une vie simple dans un environnement sain, convaincus que l'être humain a, en lui même, le potentiel d'accéder au bonheur, et que l'effort pour l'accumulation de biens matériels constitue un obstacle à la réalisation de ce potentiel.
La "science économique" est une imposture et le libéralisme est une idéologie. Toutes les sociétés finissent par s'écrouler. La nôtre est un peu comme ces "programmes de recherche" qui finissent par devenir stériles. Il faut alors accepter de nouvelles idées parce que les précédentes n'ont plus rien à donner. Il suffit d'ouvrir les yeux pour voir que toutes les autres sociétés ont subi le même sort. L'exemple de la Cité grecque, ou celui sans doute encore plus frappant de la chrétienté médiévale, au 13ème siècle, au temps de saint Louis et de saint Thomas. À cette époque, les gens devaient croire que la chrétienté était une réalité éternelle, et puis elle s'est effondrée relativement vite. L'idée que nous représentons le sommet de l'histoire humaine n'est qu'un préjugé, un mythe parmi d'autres.
Le néo-libéralisme, aboutissement de cinq siècles d'histoire du capitalisme, ne peut perdurer éternellement. Les mythes fondateurs de la civilisation occidentale sont en train de s'écrouler. Comme tous êtres vivants, système, empire ou civilisation, le capitalisme a vécu et il va mourir, c'est dans l'ordre des choses. Le commerce et donc la consommation ne peuvent être une finalité. Les financiers ne doivent plus exister et décider, ainsi, de l'avenir des hommes, d'autant plus que la philosophie qui les animent, le plus souvent, est forcément le matérialisme. Il s'agit de replacer l'ordre des priorités. En premier lieu, il s’agit d’établir une éthique d'où découlent des valeurs humaines et environnementales. Puis la gestion de la cité des hommes - la Politique - doit s'exprimer en accord avec des valeurs humaines justes, au sein d'une réelle démocratie, et non pas dans une démocratie hypocrite, une dictature des marchés tenue par les financiers, les rentiers. Enfin, après une éthique et une politique réellement démocratique, le commerce trouve sa place. Une voie existe, ni néo-libérale, ni totalitaire et forcément démocratique qui renoue avec notre nature profonde et notre mère à tous : la Terre. On pourrait s'arrêter de s'agiter, de consommer, de polluer pour réfléchir, parler, partager et peut-être alors redécouvrirons-nous nos vraies valeurs, notre vertu et notre sagesse fondamentale pour repenser nos façons d'agir, notre travail, nos relations avec autrui et avec la nature. Une fois débarrassé de la dictature financière, notre technologie nous permettra de passer d’une société basé sur la compétitivité, le profit, l’individualisme et l’avoir à une société basé sur la convivialité, le bénéfice collectif et le développement de l’être.
Face à la crise de l'environnement, face à la crise globale et radicale de la civilisation industrielle, des solutions existent, il suffit de le vouloir. Mais n'attendez pas que les choses changent toutes seules, vous seuls avez le pouvoir de les changer. Les solutions sont individuelles et demandent un certain courage à s'engager à résoudre les problèmes à la racine. Entre autres ; limiter notre consommation effrénée d'énergie non renouvelable et de matières premières ; s'engager plus activement aux différents niveaux de décision politique en vue de créer des processus véritablement démocratiques pour une meilleure répartition des richesses et du travail.
Depuis que le pouvoir n’est plus de droit divin, le pouvoir souverain c’est le pouvoir du peuple par le suffrage universel. Et cela veut dire qu’aucune considération macro-économique, financière, monétaire ne peut empêcher une décision politique issue du suffrage universel. Il n’y a pas de « dieu » économie ou de « loi » de la finance. Certains pourraient se décourager en pensant que la mondialisation capitaliste est allé trop loin et que la France ne peut pas décider, seule dans son coin, de changer les « règles du jeu ». Voyons donc ! il y a deux siècles, dans une Europe complètement dominée par une aristocratie décadente, la France a t-elle demandé l’autorisation pour se débarrasser du pouvoir divin de la royauté ?
Comment construire une alternative commune ? La base même, c’est la souveraineté populaire, l’appartenance à un peuple. Ils nous faut partir de l’identité des peuples qui composent les Etats pour défendre l’intérêt général contre celui des transnationales de droit privées. Pour recueillir l’adhésion populaire et donc une majorité aux élections, il ne faut pas, bien que le combat contre la mondialisation libérale soit un combat international, nier l’identité nationale qui est un repère pour le peuple afin de résister et construire de nouvelles solutions « du vivre ensemble » sur un territoire. Mais gardons-nous, bien sur, de tomber dans l’étroitesse d’esprit du nationalisme qui consiste à caresser dans le sens du poil les idées et les émotions les plus simplistes.
C’est au peuple français de trouver les solutions particulières qui correspondent à sa culture, à son histoire, à son territoire. Et de toute façon, il n’est pas possible de lutter contre la mondialisation financière sans un réel pouvoir au niveau de la nation française. Un Etat fort qui puisse s’opposer fermement aux transnationales, aux fonds de pensions, au pouvoir financier mondialisé.
La France pourrait, comme il y a un peu plus de deux siècles, montrer l’exemple d’un changement radical de régime. La France, terre d'accueil, de tolérance et d'échange, territoire relativement homogène aux niveaux linguistique, historique, géographique et culturel pourrait être le théâtre d'une vraie révolution, mais contrairement à l'exemple sanglant de 1789, elle donnera l'exemple d'une révolution non-violente, d'une révolution profonde des rapports sociaux et de notre relation à la nature. La France et les français sont les mieux placés pour montrer au monde, une autre vision, une autre voie, une autre façon de vivre ensemble. En effet, la France dispose d’un état structuré, d’une administration bien organisée, de fonctionnaires qualifiés et dévoués. Et pour passer du système capitaliste à un nouveau système, il est primordiale d’avoir un état structuré et bien organisé pour que « la révolution paisible » se déroule sans excès de violence et, en tout cas, sans pertes de vies humaines, ce qui est, évidemment, un impératif.
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